Expositions de la FÊTE DU PRINTEMPS 2022

Actualité

Mise à jour le 24/01/2022

Attention, cet article n'a pas été mis à jour depuis le 24/01/2022, il est possible que son contenu soit obsolète.
La Fête du printemps débutera officiellement le 1er février avec le nouvel an. Mais dès le lundi 24 janvier vous pourrez venir visiter les premières expositions et tout au long des festivités découvrir cinq artistes de talent !

« LE PRINTEMPS ARRIVE ! » - Tay Nguyen

Du lundi 24 janvier au vendredi 4 février 2022 - Galerie Bièvre
Tay Nguyen est un artiste-peintre né en 1987 au Vietnam. Il peint à l’huile, à l’encre de Chine. L’artiste est surtout reconnu pour ses œuvres exécutées à l’aquarelle sur soie.
L’exposition « LE PRINTEMPS ARRIVE ! » qui sonne comme un message d’espoir et qui annonce des jours meilleurs, dévoile le travail de Tay Nguyen durant ces dernières années. L’artiste-peintre offre au public un voyage dans son univers d’inspiration asiatique à travers ses thèmes de prédilection : la nature et la femme.

« Origine de la vie » - Wenyu Zhu

Du lundi 24 janvier au vendredi 4 février 2022 - Galerie Athèna
Les œuvres de Wenyu ZHU dépeignent un réalisme intérieur. Son œuvre traduit la fragilité et la rigidité de la nature humaine et exprime moins un plaisir de sensation éprouvé récemment qu’un gouffre éternel entre espoir et désespoir, séparant l’aimant et l’aimé. Mais c’est bien là tout le paradoxe de cet univers artistique proche du merveilleux, de confronter des sentiments d’intense bonheur et des sensations angoissantes. La peinture est ici comme une représentation évanescente de l’inconscient et de la fragilité du vivant.
Instagram : WENYUZHU_JADE
Facebook : Zhu Wenyu

« IMPRESSIONS, mes photographies sont mes peintures » - Boulomsouk Svadphaiphane

Du lundi 24 janvier au vendredi 4 février 2022 - Antichambre
Autrice, réalisatrice, photographe, Boulomsouk Svadphaiphane explore l’altérité́. Dans son travail de cinéaste, elle interroge l’humain sur ses failles, ses défauts, l’aliénation sociale dont il est prisonnier. Dans son travail de photographe, elle interroge l’humain dans son corps, ses entraves conscientes et inconscientes et dans ses libertés à conquérir.
Mon Diana F + m’accompagne dans mes voyages depuis plus de 10 ans… Pas tous, seulement ceux qui m’ont emmenée le plus loin de Paris. Des souvenirs transfigurés qui ne sont que des impressions car je n’ai jamais aimé́ prendre des photos de vacances. J’ai toujours préféré́ les vivre dans mon corps, ma tête, mes yeux plutôt que sur pellicule (ou en digital). Des sensations fugaces qui laissent des traces floues ou des images plus tenaces. Ces photos, je les ai donc faites sans que cela empiète sur mon désir de vivre pleinement les voyages. Des images vectrices de mes émotions, garanties sans trucage, ni retouche, pour rester dans l’instant, ma vérité́ qui n’est pas forcément la réalité.́
Instagram @boulomsouk
Facebook Boulomsouk Svadphaiphane

« RAMINAGROBIS » - Jie WANG

Du 7 février au 11 février 2022 - Galerie Bièvre
Jie Wang, née à Shanghai, habite à Paris depuis 20 ans. Elle est peintre et poète.
Pour fêter l’année du Tigre, Jie Wang a fait appel à l’univers de Jean de la Fontaine.
Les Raminagrobis de Jie Wang sont sentimentaux, rêveurs, mélancoliques parfois coléreux, mais tout finit par s’arranger. Ses chats sont toujours capables de nous réserver d’heureuses surprises, comme se mettre au piano !
Et c’est à Victor Hugo que nous laisserons le dernier mot : « Dieu a inventé le chat pour que l’homme ait un tigre à caresser chez lui ».
Instagram : jie_wang_weill

« Fragments d’Histoires » - Sidney Botbol

Du 7 février au 11 février 2022 - Galerie Athéna et Antichambre
Sidney Botbol, photographe et cinéaste, vit et travaille à Paris.
Au cours de ses études, il s’est spécialisé dans la photographie et la réalisation, il a développé un regard particulier dans la relation étroite entre la lumière, l’ombre, les personnages et la narration. Il se passionne pour la musique, le théâtre et la littérature qui sont autant de sources d’inspiration pour ses travaux.
La narration, la lumière et la tentative d’assouvissement d’une curiosité insatiable.
Au cours de mes déambulations, mon œil est attiré par la lumière des attitudes, des scènes.
Cinéaste à chaque instant, malgré la frustration des simples fragments de secondes capturés, je cherche à inviter la narration dans mon cadre.
Un fragment d’instant capturé, comme un appel au cinéma, qui se fige à tout jamais. Une histoire suggérée dans 1/60ème de seconde.
Court métrage "Chevelure" (2013) : https://youtu.be/NIlZQ-yeezw
Site professionnel : http://studiodestel.com/